Pour accompagner l’édition revue et augmentée de A bas la grammaire, pour un apprentissage créatif du langage, éditions Quiero, 2024, 150 p., interrogeons-nous, à nouveau sur le rapport entre les opérations linguistiques et les opérations cognitives. Qu’est-ce qui se joue de l’acquisition du langage par l’enfant en classe ? Continuer la lecture
Archives par mot-clé : Jean Piaget
La Représentation du monde chez l’enfant
En 1926, les éditions Alcan publient de Jean Piaget, La Représentation du monde chez l’enfant. La réédition du livre est l’occasion de revenir sur le cheminement et la pertinence de la pensée du chercheur suisse. Continuer la lecture
Pour le constructivisme piagétien
En éducation, Piaget semble voué aux oubliettes. Méconnaissance et fausses interprétations circulent. Ainsi, sur les stades du développement de l’enfant… Continuer la lecture
Théorie nouvelle et champ institué des connaissances
Le champ théorique de la langue des signes est traversé par deux théorisations qui, chacune à sa manière, écrase l’objet d’étude à des conceptions communes, à du connu. Continuer la lecture
À propos de l’enseignement de la morale et du civisme II
Après voir montré la caducité de la position du Ministère de l’éducation en matière de morale ou d’esprit critique, nous allons nous interroger sur deux types de solidarité Continuer la lecture
Enseigner le discours parce que la langue se construit à partir de lui
Source de réflexion pratique pour la question de ce qu’on appelle l’enseignement de la langue, suivons l’itinéraire de Jean-Paul Bronckart, collaborateur de Piaget Continuer la lecture
Aux sources de l’épistémologie génétique
Jean Piaget propose une théorie constructiviste de la connaissance qui s’appuie sur l’histoire des sciences, l’évolution du vivant et le développement de l’enfant. Un livre récent permet de se replonger dans le laboratoire en permanente reconfiguration que fut le constructivisme piagétien Continuer la lecture
Approche contrastive français/Langue des signes française : empirisme ou psychomécanique
La singularité des signifiants manuels des langues des signes fait que les auteurs s’y intéressant apprécient souvent les faits linguistiques en fonction de l’effet produit sur leur personne. Cet empirisme dans la méthode se double d’un subjectivisme dans le jugement, Après avoir examiné succinctement les travaux de ces impressionnistes savants, j’essayerai de montrer que la psychomécanique guillaumienne en permettant de remonter de l’effet à la cause et d’expliquer au delà de l’apparence, le processus linguistique en cause est d’une grande utilité en matière de recherche. Cette extension de la psychomécanique à une langue non vocale, démontre s’il en était besoin, la portée des vues guillaumiennes